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Clôture du projet GASSOM, fin de manche mais pas de partie

La fin de l’année 2019 a aussi marqué la fin du projet de Gestion adaptative et suivi des Systèmes oasiens au Maghreb, financé par le FEM, porté par la FAO et dont le RADDO était partenaire.

C’est l’observation de plusieurs manquements qui ont poussé les acteurs du projet à agir :

  • Manque d'information et de connaissances sur l'état et les tendances des écosystèmes oasiens parmi les décideurs, les OSC et les communautés locales
  • Manque de sensibilisation et de moyens pour soutenir la mise en œuvre des meilleures pratiques de gestion agroécologiques.

 

Sur ce constat, le projet « Gestion adaptative et surveillance des systèmes oasiens » est venu pour renforcer, étendre et soutenir la gestion adaptative et le suivi des écosystèmes oasiens au Maghreb. Il a permis d’améliorer la gestion et le suivi du patrimoine naturel oasien tout en renforçant la résilience des populations locales ». Pour se faire plusieurs résultats ont été atteints :

  • Le développement d’outils de capitalisation de connaissances et d’expériences et de surveillance des systèmes oasiens (veille informationnelle).
  • L’identification, la diffusion et l’adoption de meilleures pratiques de gestion adaptative des oasis.
  • L’instauration d’une synergie entre le monde de la recherche et le monde de la gestion et un renforcement des capacités des parties prenantes à l’échelle régionale, nationale et locale.
  • Le renforcement de la volonté et l’engagement des décideurs, es communautés et des associations pour la sauvegarde et la réhabilitation des oasis.

 

En Décembre 2019, les partenaires du projet, associatifs comme institutionnels, se sont réunis à Gabès (Tunisie) pour revenir sur les réalisations du projet, et échanger sur la durabilité et la capitalisation des actions menées. Ces quelques jours d’échanges et de travaux collectifs ont fait ressortir une volonté commune d’action toujours présente et plus forte que jamais pour continuer d’agir pour les oasis du Maghreb, et pour leur population. Alors si ce projet – cette manche – est terminé, il y a bon espoir que notre combat oasien continue, car la partie n’est pas finie pour la préservation des oasis et il nous reste encore beaucoup à faire !

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